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Maroquinerie de luxe : La seconde main, une solution pour s’offrir des sacs iconiques

Les chiffres le montrent : en plus d’apporter du caractère à votre style, acheter un sac de luxe emblématique est un très bel investissement. En effet, ils conservent leur valeur au fil des années et peuvent parfois la voir augmenter en fonction des modèles !

#luxe et accessoires

Alors si vous voulez vous offrir un sac à main de luxe sans pour autant dépenser une fortune, la seconde main est votre solution pour dénicher des pièces à des prix plus abordables ! De cette manière, la très élitiste maroquinerie de luxe devient plus accessible et cela nous permet de posséder une pièce que l’on n’aurait pas forcément pu s’offrir neuve. 

En dehors de la question du budget, se tourner vers la seconde main c’est aussi faire un geste pour la planète en évitant de tomber dans le piège de la fast fashion. En effet, par définition la maroquinerie de luxe est réalisée avec des techniques traditionnelles et bien souvent à la main, deux aspects qui sont gage de durabilité. Alors pourquoi ne pas leur donner une seconde vie ? 

Apprécier les choses qui ont une histoire est devenu au fils des années une tendance, et le vintage est de plus en plus populaire dans beaucoup d’aspects de la vie et surtout de la mode. Acheter un sac ou un accessoire de luxe de seconde main c’est choisir un objet qui possède déjà une histoire et un caractère. De plus, les modèles vintage de maroquinerie ne sont parfois plus fabriqués par les maisons ce qui les rend dès lors encore plus rares et uniques !

Découvrez notre liste de 5 sacs iconiques et indémodables :  

  • Le Kelly, par Hermès : quintessence de l’élégance féminine

C’est dans les années 1930 que le Kelly, alors appelé Sac à Dépêches, est imaginé par le gendre d'Émile Hermès et aussi PDG de la marque à l’époque, Robert Dumas. S’inscrivant dans la lignée de l’héritage équestre de la maison, il imagine une version raffinée des grandes sacoches et réalise un sac moderniste de forme trapèze en cuir. Ce n’est qu’à la fin des années 50 que le sac prend le nom de celle qui le rendra iconique, Grace Kelly, star d’Hollywood, puis Princesse de Monaco, qui fut photographiée se servant du sac pour cacher les premières rondeurs de sa grossesse. 

Maroquinerie de luxe 1@2x.jpgLe 2.55 de Chanel : mythe intemporel 

Coco Chanel c’est la recherche de la libération et d’émancipation de la femme par le mouvement. Dans cette idée, elle crée une alternative aux pochettes classiques se portant normalement à la main ou dans le creux du bras en s’inspirant des sacs à bandoulière de l’armée. Elle imagine alors le 2.55 - dont le nom fait référence à sa date de lancement, le 2 février 1955. Réalisé en cuir d’agneau matelassé accessoirisé d’une chaîne métallique, il s’adapte à toutes les tenues.  

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  • Le GG Marmont de chez Gucci : mélange de classicisme et modernité

Imaginé par Alessandro Michel en 2015 dans un esprit seventies, le sac GG Marmont incarne l’héritage de la maison en reprenant le double G des initiales du fondateur Guccio Gucci alors oublié depuis les années '70. Son design minimaliste mais aux multiples déclinaisons pour s’adapter à tous les styles, cache un secret. Il s’agit d’un motif en forme de cœur caché sur l’arrière du sac qui prône un message d’amour universel. 

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  • Le baguette par Fendi : icône de la nostalgie des années 2000

Premier sac de sa génération à être considéré comme un it bag, il est créé par Silvia Venturini Fendi, petite fille des fondateurs de la marque, en 1997. De toute petite taille et à porter sous le bras, il est le reflet d’une époque en quête de simplicité et de minimalisme. Son nom fait référence au cliché français et à la manière de porter sa baguette sous le bras. 

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  • Le Loulou de Yves Saint Laurent : de la muse au sac emblématique

Ce sac en cuir de veau ou décliné en tissus, à effet matelassé formant un Y porte le nom de l’une des muses du créateur de la marque, Louise le Bailly de la Falaise alias Loulou de la Falaise. Comme beaucoup de femmes, Loulou de la Falaise a eu un rôle très important dans le processus de création d’Yves Saint Laurent. De passage à Paris en 1968, elle rencontre le couturier lors d’un thé organisé par un ami en commun. Séduit par sa personnalité et sa créativité, elle rejoint la maison de Haute couture en 1972.

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